Pour en savoir un peu plus sur la Pologne

Pour ceux que cela intéresse, en cliquant sur « Lire la suite » vous trouverez une note pour mieux connaître la Pologne, son histoire, ses relations avec la France.

Pour ceux que cela intéresse, en cliquant sur « Lire la suite » vous trouverez une note pour mieux connaître la Pologne, son histoire, ses relations avec la France.


Le pays en bref
Intitulé officiel du pays : république de Pologne
Capitale : Varsovie
Superficie : 323 250 km²
Population : 38 587 000 habitants
Peuples et ethnies : 98% de Polonais, une petite minorité d’Ukrainiens et de Biélorusses. 5 à 10 millions de Polonais vivent à l’étranger (notamment aux Etats-Unis).
Langues : Polonais
Religions : 95% de catholiques
Institutions politiques : La Pologne est une république parlementaire. Son président est élu pour un mandat de cinq ans au suffrage universel. Il nomme le Premier ministre. Le Parlement est constitué de deux chambres : la Diète des députés et le Sénat. Le pays est divisé en 49 provinces, elles-mêmes subdivisées en districts ruraux ou urbains.
Président : Lech Kaczynski Premier ministre : Donald Tusk
Economie PIB : 310 milliards de $US PIB/Hab : 29 600 $US Croissance annuelle: 3,4% Inflation : 2,2%
Principales activités : le charbon est la principale ressource minière en Pologne. Elle a donné naissance à une industrie lourde en haute Silésie, en déclin depuis de nombreuses années. La moitié de la superficie du pays est cultivable (pommes de terre, seigle, blé et betteraves). Les principales productions locales vont de l’acier aux produits chimiques, en passant par les machines industrielles et les équipements de transport. Principaux partenaires : Allemagne, Italie et France Membre de l’union européenne: oui
Nourriture La cuisine polonaise porte les traces du cosmopolitisme du pays : les influences juive, allemande, hongroise, russe y sont très nettes. La nourriture polonaise est abondante et substantielle : soupes épaisses, sauces, pommes de terre, boulettes de viandes, et peu de légumes ! Les plats nationaux les plus connus sont le bigos (choucroute et viande) et le barszcz (soupe de betteraves). On arrose les repas de vodka (ne manquez pas la vodka à l’herbe de bison), mais le vin et la bière lui font de plus en plus concurrence aujourd’hui.
Religion La Pologne de Jean-Paul II est un pays profondément religieux. Les Polonais sont catholiques à 95%. On relève l’existence d’une Eglise orthodoxe qui, en 1596, a décidé de reconnaître l’autorité de Rome. C’est l’Eglise uniate. L’Eglise orthodoxe (moins de 1% de la population) subsiste à l’extrême-est du pays. Enfin, notons la présence des vieux croyants, un courant marginal issu de l’orthodoxie. Les juifs ont pour leur part été quasiment rayés de la carte durant l’occupation hitlérienne.
Histoire
Milieu du Xe siècle : L’une des tribus slaves installées dans la région, les Polanes (littéralement « ceux des champs »), s’impose sur le territoire de l’actuelle Pologne (d’où son nom). La naissance officielle du pays remonte à 966, date à laquelle le premier dirigeant connu du pays, Mieszko Ier se convertit au christianisme. A sa mort, en 992, il a fondé un royaume dont les frontières suivent peu ou prou les frontières actuelles. En 1025, son fils, Boleslas Ier le Vaillant, est sacré premier roi de Pologne par le pape. 1241/1242 : Les Mongols envahissent la Pologne et dévastent plusieurs régions. 1386/1434 : Sous le règne de Ladislas II Jallegon, la Pologne s’allie avec la Lituanie, association qui permet au royaume de multiplier par cinq son territoire. Cette alliance dure quatre siècles. 1466 : A l’issue de la guerre de Treize ans contre les chevaliers Teutoniques, la Pologne étend son empire de la mer Baltique à la mer Noire. C’est le plus grand Etat en Europe. 1543 : Nicolas Copernic publie son traité Des révolutions des sphères célestes, dans lequel il affirme que la Terre tourne autour du Soleil. 1548/1572 : Règne de Sigismond II Auguste, considéré comme l’âge d’or de la Pologne. 1655/1660 : Au cours des invasions suédoises, qualifiées de « Déluge » dans l’histoire polonaise, le pays est amputé du quart de sa superficie. 1773 : Après une lente agonie, la royauté polonaise sombre sous les coups de boutoir de ses puissants voisins. La Diète est obligée de ratifier le partage d’une partie substantielle de son territoire entre la Russie, l’Autriche et la Prusse. Après plusieurs insurrections, le pays est définitivement rayé de la carte en 1795. 1807 : Napoléon crée (jusqu’en 1813) un grand duché de Varsovie. 1918 : Le maréchal Jozef Pilsudski prend le commandement à Varsovie et proclame l’indépendance de la Pologne, ratifiée par le traité de Versailles de 1919. 1939 : En dépit des pactes de non-agression signés avec la Pologne, mais conformément au pacte signé entre Berlin et Moscou, Hitler lance ses troupes à l’assaut du pays le 1er septembre et Staline le 17. 1943 : En avril, soulèvement du ghetto de Varsovie. 1944 : En août, Varsovie se soulève. 200 000 Polonais sont tués dans la répression nazie qui suit. 1945 : Les frontières de la Pologne actuelle sont fixées aux conférences de Potsdam et de Yalta. La Pologne entre dans la sphère d’influence soviétique. 1956 : Grève des ouvriers à Poznan réprimée sévèrement par le pouvoir (70 morts). Gomulka est nommé à la tête du pays pour désamorcer les tensions. 1970 : Les difficultés économiques s’accumulent. Vague de grèves à Gdansk. Gomulka est remplacé par Gierek. 1978 : Election de l’archevêque de Cracovie, Karol Wojtyla, comme pape. Celui-ci effectue une tournée triomphale dans son pays natal l’année suivante. 1980 : Au mois d’août, déclenchement d’une grève aux chantiers navals de Gdansk qui aboutit à la naissance de Solidarité dirigé par Lech Walesa. 1981 : Le 13 décembre, le général Jaruzelski décrète l’état de guerre. Walesa et les principaux dirigeants de l’opposition sont emprisonnés. 1989 : A la suite d’une table ronde entre le pouvoir et l’opposition, celle-ci est autorisée à siéger au Parlement. L’année suivante, le parti communiste s’auto-dissous et Lech Walesa est élu président en novembre. 1995 : L’ancien communiste Aleksander Kwasniewski devance Lech Walesa aux élections présidentielles. 1999 : La Pologne fait son entrée dans l’OTAN. 2000 : Le président sortant Aleksander Kwasniewski est réélu au premier tour à la présidence de la République. Lech Walesa, qui n’obtient que 1 % des suffrages, décide de se retirer de la vie politique. L’état de l’économie polonaise inquiète le Fonds monétaire international (FMI) et l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE). 2001 : Pour la première fois depuis la dissolution du parti communiste, la gauche post-communiste (SLD) gagne les élections législatives. 2003 : La position pro-américaine de la Pologne durant la guerre en Irak provoque une crise diplomatique avec la France. 2004 : Entrée de la Pologne dans l’Union européenne. 2005 : Recomposition du paysage politique polonais : effondrement des socialistes face à la droite (PIS et PO) qui remporte les élections parlementaires en septembre, et les élections présidentielles en octobre avec la victoire de Lech Kaczynski à plus de 54%. 2006 : Jaroslaw Kaczynski est nommé Premier ministre par son frère jumeau, le président Lech Kaczynski, après la démission de Kazimierz Marcinkiewicz.
Les relations bilatérales France- Pologne

Les relations franco-polonaises datent de plusieurs siècles. La première rencontre a eu lieu en 1154, en Palestine, où des troupes de Henryk, duc de Sandomierz, vinrent aider Baudoin, pendant la première croisade. L’alliance des armées s’avéra symbolique : les deux pays ne se sont jamais affrontés sur un champ de bataille. Les relations devinrent réellement concrètes quelques centaines d’années plus tard : lors de la Révolution française et du règne de Napoléon. Les Polonais furent alliés de ce dernier et le protégèrent lors de sa retraite de la campagne de Russie. Une grande communauté polonaise s’installa en France au XIXe siècle. Puis, Polonais et Français furent également alliés pendant la période d’entre deux guerres. Les relations officielles se refroidirent pendant la guerre froide et s’améliorèrent de nouveau après la chute du communisme. Actuellement, les deux pays font partie de l’Union européenne Les relations politiques bilatérales Ancrées dans une tradition d’amitié et une coopération dense et variée, ces relations revêtent une sensibilité à la mesure de leur intensité. L’entrée dans l’UE (1er mai 2004) leur a donné un nouvel élan. Lors d’un séjour à Paris du Président Kwasniewski (4 octobre 2004), le principe d’un Sommet annuel entre les deux pays a été arrêté. En outre, la tenue de rencontres gouvernementales annuelles, restreintes et opérationnelles, dont le principe a été retenu par les deux Premiers Ministres, offre désormais un cadre de dialogue régulier au plus haut niveau. Le premier séminaire de ce type, consacré à la recherche et à l’éducation, a eu lieu à Paris le 22 novembre 2004. Le Président de la République française, M. Nicolas Sarkozy, s’est rendu en Pologne dans le premier mois de son mandat, le 14 juin 2007. M. Jean-Pierre Jouyet, secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes, s’est rendu, le 11 juin 2007, à Varsovie, pour rencontrer Mme Ewa Osniecka-Tamecka, secrétaire d’Etat et chef de l’Office de l’intégration européenne. Plusieurs visites ont eu lieu entre 2005 et 2007, notamment celles de M. Stefan Meller, reçu à Paris les 6 et 7 décembre 2005, de Mme Catherine Colonna, ministre déléguée aux Affaires européennes, à Varsovie et Cracovie du 12 au 14 janvier 2006, de Mme Anna Fotyga, reçue par M. Philippe Douste-Blazy, ministre des Affaires étrangères, à Paris le 14 juin 2006 et le 5 février 2007. M. Douste-Blazy s’était quant a lui rendu à Varsovie le 24 juin et le 3 novembre 2006. Le Président Lech Kaczynski s’est quant à lui rendu en France dès le début de son mandat (24 février 2006). Le dialogue bilatéral se double d’un dialogue trilatéral franco-germano-polonais dans le cadre du Triangle de Weimar, lancé en 1991 pour faciliter le rapprochement germano-polonais, puis devenu l’un des instruments de l’intégration euro-atlantique de la Pologne. Le Sommet des chefs d’Etat ou de gouvernement qui s’est tenu à Wroclaw le 9 mai 2003 a souhaité renouveler la vocation du Triangle pour en faire un cadre de dialogue politique plus régulier sur les questions européennes et internationales d’intérêt commun, voire une force de proposition au service de l’Union élargie. Un Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement a eu lieu à Nancy le 19 mai 2005, une réunion au niveau des ministres des Affaires étrangères étant organisée le 27 juin 2005 à Varsovie (dans le cadre de la Conférence des Ambassadeurs de Pologne). Le Sommet de Nancy a marqué le soutien du président Kwasniewski et du Chancelier Schröder à la ratification du Traité constitutionnel. Les principaux thèmes de convergence entre les trois partenaires ont été évoqués au cours de leurs entretiens : respect de la discipline budgétaire pour l’Union (sauvegarde de la PAC, solution de la question du « chèque britannique »), relations de l’Union européenne avec la Russie et l’Ukraine, situation au Proche-Orient (Israël-Palestine, Liban, Irak), pérennité du modèle social européen, Sommet des Nations Unies (mise en œuvre du protocole de Kyoto, réforme de l’organisation, aide publique au développement). Le dernier sommet s’est déroulé à Mettlach (Sarre), le 5 décembre 2006, et a permis aux trois chefs d’Etat de s’accorder sur la constitution d’un groupement tactique trilatéral en 2013, ainsi que sur le rapprochement de leurs positions sur la politique de voisinage.
Les relations économiques bilatérales
Nos échanges commerciaux ont très fortement augmenté depuis 1996, atteignant 11,9 milliards d’euros en 2006 (+36% par rapport à 2005). Ils placent la France au 5ème rang des fournisseurs de la Pologne, derrière l’Allemagne, la Russie, l’Italie et la Chine, et au 3ème rang de ses clients, derrière l’Allemagne et l’Italie. La Pologne est le premier client de la France en Europe centrale depuis 1996 et son 13ème débouché dans le monde. Les exportations françaises ont progressé de 16% en 2006 pour atteindre 5,4 Mds €. Les biens d’équipements (1,825 Mds €) et les biens intermédiaires (1,895 Mds €) représentent à eux seuls 68,9% de ces exportations. Le contrat, signé fin décembre 2004 entre Alstom et la société Elektrowania Belchatow, propriété intégrale du Trésor polonais, est entrée en vigueur en septembre 2006. Il concerne la construction « clé en main » d’un bloc énergétique d’une puissance de 833 MW, pour un montant de 960 M€ dont une part française de 200 M€. La Pologne est le premier pays d’Europe centrale destinataire des investissements français. En dépit du désengagement du groupe Casino en 2006 (accord de vente de ses actifs à Metro et Tesco pour près d’1 Mds EUR), la France demeure le 1er investisseur étranger devant les Etats-Unis, l’Allemagne et les Pays Bas, avec un stock de 16 milliards d’euros investis à ce jour et un nombre d’emplois directs estimé à 185 000. Bien que concentrés dans les secteurs des télécommunications et de la grande distribution, nos investissements témoignent d’une pénétration dans tous les domaines de l’économie polonaise. Au total, la France compte 7 entreprises parmi les plus gros investisseurs recensés en Pologne (dans l’ordre : France Télécom, Vivendi, Carrefour, Crédit Agricole, Saint Gobain, Lafarge, Auchan). Certaines opérations (TPSA, VU) soulèvent par ailleurs des difficultés s’agissant de la sécurité juridique des opérations. La présence des entreprises françaises de taille moyenne reste modeste. La coopération culturelle, scientifique et technique La coopération technique bilatérale s’est développée dans les domaines prioritaires de la pré-adhésion : réforme de l’administration, formation de hauts fonctionnaires et de magistrats polonais aux affaires européennes, agriculture, environnement, énergie, politiques structurelles et restructurations industrielles. Cette coopération se poursuit depuis l’adhésion, pour la mise en œuvre de l’acquis communautaire comme dans d’autres domaines d’intérêt commun (sécurité intérieure, protection sociale, etc). La coopération scientifique, également étroite, se fonde principalement sur le programme d’actions intégrées Polonium, le partenariat des principaux organismes de recherche français avec leurs homologues polonais et l’octroi de nombreuses bourses. Une démarche de regroupements des laboratoires français et polonais est en cours dans la perspective de la constitution d’un espace européen de la recherche. La coopération culturelle, linguistique et éducative s’appuie sur un dispositif important (instituts culturels de Varsovie et de Cracovie, antennes de Wroclaw et Poznan, 15 Alliances françaises implantées en province, lycée français de Varsovie, 8 collèges et lycées à sections bilingues, 16 filières universitaires francophones, un collège international de droit français et européen créé auprès de l’Université de Varsovie…). Elle permet au français de se maintenir comme 4ème langue vivante derrière l’anglais, l’allemand et le russe (4,3% d’apprenants en 2002/2003). Le Lycée René-Goscinny de Varsovie constitue une « vitrine » de la qualité de l’enseignement français. Les Alliances françaises de Pologne ont été lauréates du prix culturel de la fondation Louis D. de l’Institut de France en 2006. Un Fonds de coopération à financement mixte public-privé a été mis en place pour encourager la formation linguistique et professionnelle des jeunes Polonais en France. L’attachement de la Pologne au plurilinguisme et à la diversité culturelle, ainsi que la réforme du système éducatif en 1999, devraient permettre à notre langue de progresser, conformément aux engagements qui découlent du statut d’observateur de la Pologne à l’Organisation Internationale de la Francophonie. Lors du séminaire franco-polonais de novembre 2004 a été signé un accord prévoyant la mise en place d’un diplôme à valeur binationale, le « matubac », qui devra permettre l’accès aux Universités des deux pays (pour les élèves du Lycée français et des sections bilingues des établissemnts d’enseignement secondaire polonais). En outre, des mastères seront proposés dans une quinzaine d’Universités. La coopération audiovisuelle fait l’objet d’une attention particulière. Elle s’appuie sur une large présence des opérateurs français ou francophones (CFI, TV5, RFI Canal + Polska, Arte), ainsi que sur des actions dans le domaine du cinéma avec des coproductions, des festivals du film français et des aides à la distribution de films français. Les échanges artistiques, très denses, ont culminé avec l’organisation d’une saison culturelle polonaise « Nova Polska » en France de mai à décembre 2004. Une exposition de peinture française du XVIIIème au XXème siècle, « Ombres et Lumières », a été présentée au Château de Varsovie (mars-juin 2005). La musique constitue un autre axe de notre rayonnement culturel (jazz, musique contemporaine…), les compositeurs français des 19ème et 20ème siècles ayant par exemple été mis à l’honneur du festival « Sacrum Profanum » de Cracovie en septembre 2006. Une exposition Fernand Léger s’est tenue à Varsovie au cours de l’été 2006. Déplacement de M. Nicolas SARKOZY, Président de la République en Pologne (Varsovie, le 14 juin 2007) M. Nicolas SARKOZY, Président de la République, s’est rendu en Pologne le jeudi 14 juin 2007. Il a eu, à Varsovie, un entretien suivi d’un déjeuner de travail avec le Président de la République polonaise, M. Lech KACZYNSKI, puis une réunion de travail avec le Premier ministre, M. Jaroslaw KACZYNSKI. Le Président de la République avait indiqué, le jour de sa prise de fonctions, qu’il souhaitait avoir un certain nombre de contacts et de consultations bilatérales pour faciliter la conclusion d’un accord sur une sortie de la crise institutionnelle de l’Union européenne, lors du Conseil européen des 21 et 22 juin 2007. Le Président de la République plaidera donc auprès des dirigeants polonais pour l’adoption d’un traité simplifié amendant le traité de Nice, et qui permettrait de mettre en œuvre l’essentiel des avancées institutionnelles que contenait le projet de Constitution européenne. Le Président de la République a toujours considéré que la Pologne, forte de ses 38 millions d’habitants, était un des grands pays d’Europe. Rappelons qu’il avait créé le G5 des ministres de l’Intérieur de l’Union européenne en 2003, et qu’il avait souhaité, dès l’adhésion de la Pologne à l’Union européenne, que le G5 devienne un G6 élargi à la Pologne. C’est ce qu’il avait obtenu lors de la réunion d’Evian de Juillet 2005. Le Président considère que la Pologne, parce qu’elle est un des grands pays d’Europe, a des responsabilités particulières dans la construction européenne. Elle doit montrer l’exemple, car elle est elle-même un exemple de par son histoire, son attachement aux valeurs européennes et la croissance de son économie.

Partager :

Auteur/autrice : Laurent DEJOIE

Laurent DEJOIE Notaire Président de l'Association du Notariat Francophone Vice-président du Conseil Régional des Pays de la Loire

2 réflexions sur « Pour en savoir un peu plus sur la Pologne »

  1. Vous avez de la chance d’être attendue en Pologne Monsieur le Maire. Bonjour à Ania !

Les commentaires sont fermés.