Un prix départemental d’architecture pour le Gymnase des Echalonnières

Mardi dernier à l’auditorium de la Maison de l’Architecture, lors de la Remise du Prix Départemental d’Architecture, une mention spéciale a été attribuée au Cabinet BARRE LAMBOT pour la réalisation du Gymnase des Echalonnières.

La Ville de VERTOU a déjà ét distingué pour le Collège Lucie Aubrac.

Dans un numéro de 303, la revue de la Région des Pays de la Loire, dénommée ARCHITECTURE(S) du XXème siècle et reconversion(s), figuraient la Bibliothèque LIBRE COUR et l’immeuble des Tanneries à la Rousselière.

L’Hôpital des Clouzeaux et la Caserne des Pompiers ou la toute récente Gendarmerie offrent un panel de réalisations architecturales remarquables et remarquées.

Comme l’Hôtel de Ville ou la Salle Sèvre et Maine en leur temps, ces bâtiments contribuent à l’identité de notre commune.

En cliquant sur « Lire la Suite », vous trouverez le texte de présentation du Gymnase par le Cabinet BARRE LAMBOT.

Mardi dernier à l’auditorium de la Maison de l’Architecture, lors de la Remise du Prix Départemental d’Architecture, une mention spéciale a été attribuée au Cabinet BARRE LAMBOT pour la réalisation du Gymnase des Echalonnières.

La Ville de VERTOU a déjà ét distingué pour le Collège Lucie Aubrac.

Dans un numéro de 303, la revue de la Région des Pays de la Loire, dénommée ARCHITECTURE(S) du XXème siècle et reconversion(s), figuraient la Bibliothèque LIBRE COUR et l’immeuble des Tanneries à la Rousselière.

L’Hôpital des Clouzeaux et la Caserne des Pompiers ou la toute récente Gendarmerie offrent un panel de réalisations architecturales remarquables et remarquées.

Comme l’Hôtel de Ville ou la Salle Sèvre et Maine en leur temps, ces bâtiments contribuent à l’identité de notre commune.

En cliquant sur « Lire la Suite », vous trouverez le texte de présentation du Gymnase par le Cabinet BARRE LAMBOT.


Le Parc Paysager Sportif des Echalonnières bénéficie de grandes qualités paysagères données par une topographie importante du nord au sud qui libère des vues panoramiques sur des boisements et des clairières. Le projet des salles sportives, multisports et salle polyvalente et son plateau EPS vient s’inscrire dans le site en respectant les lignes de composition.

Les deux salles sportives s’implantent entre le Parc Paysager et l’emprise du collège (Lucie Aubrac), laissant libres les vues sur la ville. Les lignes serrées de la topographie du site donnent au bâtiment une situation en belvédère, telle une borne-repère qui signale l’entrée au nord du parc sportif. La topographie permet également d’encastrer le bâtiment dans la pente et d’en minimiser sa hauteur. Tout en conservant, au sud, la ligne de boisements existante, le projet à cet endroit est revêtu de gabions (pierres naturelles « encagées ») pour accompagner un cheminement piéton.

Ce bâtiment à deux niveaux est donc construit le long des lignes de topographie existantes, permettant de créer deux accès différenciés : un accès public par un espace de convivialité permettant de bénéficier de vues en surplomb sur le terrain de jeux et de desservir les tribunes, un accès sportif, au niveau des salles sportives et de leurs vestiaires et locaux associés.

Partager :

Auteur/autrice : Laurent DEJOIE

Laurent DEJOIE Notaire Président de l'Association du Notariat Francophone Vice-président du Conseil Régional des Pays de la Loire

2 réflexions sur « Un prix départemental d’architecture pour le Gymnase des Echalonnières »

  1. Eh oui!
    Vertavien depuis 40 années, je constate la perpétuelle évolution de ma ville. Parfois avec des réticences sur des réalisations, qu’au fil du temps j’intègre dans mes acceptations. Qui se souvient de la sortie chez Citroën de la D.S. et des critiques sur sa ligne, puis de son intégration au paysage automobile.
    Petit à petit, sans grands à-coups, notre ville creuse son sillon de connaissance et reconnaissance: architecture, sites, embellissement, etc…
    Et ce au mépris des critiques formulées régulièrement par ceux en opposition systématique aux réalisations vertaviennes du fait qu’ils n’ont pas été à l’origine de celles-ci.
    Quand on constate combien ils sont impliqués dans le devenir de la ville en acceptant par exemple la fermeture du Collège Jean MONNET, on est bien enclins à leur proposer la porte de sortie à l’occasion des prochaines cantonales.
    Merci donc à nos édiles pour le travail accompli et le respect du caractère propre de notre Cité dans son évolution.
    Bonnes fêtes de fin d’année à tous les vertaviens.

  2. On revient toujours sur cette histoire de fermeture de collège.
    Pourrait on m’expliquer simplement cette embrouillaminis?

    Si ma mémoire ne me fait pas défaut, lorsque le collège Aubrac a ouvert, il était indiqué que tous les élèves de Monnet devaient le rejoindre?
    En effet icelui était jugé vétuste, de la génération des Collèges Pailleron, donc dangereux à moins de réaliser de couteux travaux de remise en état.

    Puis, une seule partie des collégiens a rejoint le collège Aubrac, l’autre restant dans un premier temps à Jean Monnet avant un agrandissement du nouvel établissement pour accepter l’ensemble des jeunes sur ce nouveau site.

    Je comprends bien que le conseil général dans cette affaire n’a pas fait preuve d’une grande intelligence dans la communication, mais oui ou non la fermeture Jean Monnet était elle prévue lors de la construction de Lucie Aubrac???

Les commentaires sont fermés.