L’EDITO D’AVRIL

Juste un an après le séisme de Haïti, le Japon a été frappé par un tremblement de terre doublé d’un tsunami qui a dévasté des villes entières et faisant des milliers de victimes. Cette catastrophe naturelle se double d’un accident nucléaire extrêmement grave dont les conséquences peuvent dépasser très largement le territoire japonais. Il faut saluer le courage et le sang-froid du peuple japonais et admirer l’exemplaire dignité dont il fait preuve.

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Juste un an après le séisme de Haïti, le Japon a été frappé par un tremblement de terre doublé d’un tsunami qui a dévasté des villes entières et faisant des milliers de victimes. Cette catastrophe naturelle se double d’un accident nucléaire extrêmement grave dont les conséquences peuvent dépasser très largement le territoire japonais. Il faut saluer le courage et le sang-froid du peuple japonais et admirer l’exemplaire dignité dont il fait preuve.

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Chacun de nous a le sentiment que le rythme de ces catastrophes ne cesse de s’accélérer et que les conséquences peuvent être de plus en plus graves sans que l’on mesure exactement la part prise dans ce sentiment par la rapidité et la quantité des informations que nous recevons. Quoiqu’il en soit, chacun doit bien comprendre que le monde a des défis à relever de plus en plus nombreux et de plus en plus importants. La responsabilité pour y parvenir est à la fois collective et individuelle. Elle est celle des dirigeants des pays mais aussi des citoyens. Cela rend encore plus désolant la forte abstention connue lors du premier tour de l’élection cantonale de mars dernier (à l’heure où j’écris ces lignes le second tour ne s’est pas encore déroulé) dans la mesure où cela traduit une fracture entre les responsables politiques et les citoyens, alors que c’est bien ensemble que les citoyens et ceux qu’ils choisissent devront résoudre les difficultés. Par la proximité entre les élus municipaux et la population, l’échelon communal est relativement épargné par cette fracture. Mais il faut sans cesse veiller à préserver ce lien avec les habitants. C’est pour cela que dans les prochaines semaines, avec les élus de la majorité municipale, j’irai à la rencontre des habitants dans les différents quartiers ou villages de la commune. A la moitié du mandat en cours, j’entends rendre compte des actions réalisées et présenter les projets pour les trois prochaines années. Ce sera aussi, et surtout, l’occasion de prendre le temps d’écouter et de discuter avec tous ceux qui le voudront bien de l’avenir de la commune et des préoccupations des uns et des autres. Ces temps d’échanges sont absolument indispensables pour bien mesurer les attentes de chacun. Elles viennent en complément du travail de proximité des élus de quartier à qui je rends hommage. Pour que le sentiment de proximité entre les élus et la population reste fort, la municipalité s’appuie aussi sur ses relations avec le monde associatif. La ville soutient plus de 200 associations regroupant près de 12 000 adhérents. Ce numéro de VERTOU MAGAZINE y consacre son dossier mensuel. La proximité et la convivialité qui sont reconnues à Vertou contribuent au lien social, condition nécessaire à la construction d’un avenir partagé. Laurent Dejoie Maire de Vertou Conseiller Régional laurent.dejoie@mairie-vertou.fr

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Auteur/autrice : Laurent DEJOIE

Laurent DEJOIE Notaire Président de l'Association du Notariat Francophone Vice-président du Conseil Régional des Pays de la Loire

Une réflexion sur « L’EDITO D’AVRIL »

  1. Comme vous avez raison, monsieur le Maire, de saluer le courage et le sang froid du peuple japonais. Rappelons nous les images nous montrant les moments terribles vécus par cette population, les conditions dans lesquelles ces employées courageuses restaient sur leur lieu de travail, les mains tendues pour retenir les piles de produits sur les étagères alors que le sol tremblait de toute part. Comme nous aimerions pouvoir en dire autant de certains de nos dirigeants : alors que tant de valeurs s’effondrent autour de nous, tant de beaux batiments témoins de notre patrimoine local disparaissent, pourquoi ne pas faire l’effort de tendre les bras pour défendre les unes et entretenir les autres ?

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