Fin de campagne

Les électeurs de la dixième circonscription ont fait leur choix.

J’adresse à ma concurrente mes félicitations pour son élection.

Je remercie très sincèrement toutes celles et tous ceux qui m’ont apporté leur suffrage.

Clairement ici comme ailleurs, les français ont entendu donner une majorité au Président de la République en mettant au second plan les considérations territoriales ou locales.

Leur choix est respectable et doit être respecté.

Merci à toutes celles et tous ceux qui m’ont apporté leur soutien et ils ont été nombreux.

Merci à Nelly SORIN de m’avoir accompagné avec talent dans cette campagne.

Merci à Serge POIGNANT de son total soutien et de tout ce qu’il a fait pour notre circonscription et ses habitants pendant près de 20 ans.

Laurent DEJOIE

 

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Auteur/autrice : Laurent DEJOIE

Laurent DEJOIE Notaire Président de l'Association du Notariat Francophone Vice-président du Conseil Régional des Pays de la Loire

13 réflexions sur « Fin de campagne »

  1. Félicitations cher Laurent, chère Nelly, pour ce travail de fond,courageux et fiable.
    Mais hélas, il y a eu ici et là du travail de sape, de l’anti-Sarkozisme encore et encore, des voix données à gauche au prix des valeurs fortes de notre belle nation, même là où les hommes ne s’étaient jamais laissé duper.
    A propos de sape, pour user ses pantalons sur les sièges de l’Assemblée Nationale, il faudra peut-être songer à être bien « sapé ».
    Et quel oiseau va maintenant se faire les ergots sur les cimaises de l’Elysée, dans un subtil jeu d’équilibre qui lui donnera droit au perchoir si convoité de l’Assemblée Nationale?Perruche,bécasse,coucou,picvert ou faucon… Ce sera la surprise.

  2. Cher Y. Josse, récemment vous parliez d’élégance, je crains que celle-ci vous ait quitté hier soir à la lecture des noms d’oiseaux que vous mentionnez et à la teneur générale de la fin de votre commentaire.

  3. Vous n’êtes pas Député et nous sommes nombreux à être « dépités » depuis hier. Malheureusement ce ne sont pas les compétences qui ont prévalu. Le socialisme a atteint son paroxysme en cette année 2012, les moins défaitistes diront « après tout attendons de voir ». En ce qui me concerne, je n’ai pas hélas cette philosophie de « pensée ». Comme beaucoup je suis préparée à une augmentation massive des charges et des impôts mais en contrepartie j’attends de la part du gouvernement des mesures draconniennes en matière d’économie et rien dans le programme socialiste ne permet d’espérer cela. Je crains une « dictature socialiste » qui va dégrader notre France dans tous les sens du terme alors que nous sommes nombreux à souhaiter que certaines valeurs actuelles perdurent. J’espère bien et je ne suis pas la seule qu’il y aura des « manifs » si certaines propositions de loi dont on parle déjà voient le jour.

  4. Laurent, durant toute cette campagne tu n’as pas démérité. Tu as été sur le terrain, avec les gens. En cela, Serge a eu raison de te soutenir. Tu lui as fait honneur. Nous avons seulement perdu une bataille. D’autres combats seront a mener pour le vignoble. Pour ceux là aussi, nous serons avec toi, à tes cotés et en pointe.

  5. « …. Nicolas Sarkozy a été battu. Le suicide en direct de François Bayrou, le seul homme politique capable d’appeler à voter pour un candidat tout en disant que ce candidat est nul, ne l’a pas aidé.

    François Hollande a prononcé des discours vides. François Hollande aime la jeunesse et la justice. Il aurait été étonnant qu’il dise qu’il apprécie la vieillesse et l’injustice. Il aurait pu ajouter qu’il aime la santé davantage que la maladie, le beau temps davantage que la pluie, et pourquoi pas, que l’eau mouille, que la paix, c’est beau, et que le soleil luit à midi en plein été… François Hollande a composé un gouvernement et ce gouvernement est beau comme un discours de François Hollande.

    Les journalistes des grands médias courbés à ses pieds trouvent ce gouvernement merveilleux. François Hollande est reçu par les chefs d’Etat et de gouvernement du reste du monde. La réalité fera son retour assez vite, mais les mauvaises nouvelles glisseront sur François Hollande sans l’atteindre. Il est socialiste, donc toute montée du chômage sera attribué au capitalistes qui veulent que François Hollande échoue.

    Les jeunes gens qui n’ont pas d’emploi n’auront toujours pas d’emploi sous François Hollande. Mais ils trouveront que ce n’est pas grave et que la misère est plus belle dès lors que François Hollande est à l’Élysée. Et puis, des réformes fondamentales seront votées car promises, et des milliers de gens seront prêts à tous les sacrifices : imaginez, le mariage gay, la contraception libre et gratuite pour les mineurs, la libéralisation du cannabis, des tickets pour les contrôles d’identité, … Elle n’est pas belle, la vie ?

    Pour boucler ses fins de mois difficiles, la France devra trouver des milliards d’euros sur les marchés financiers, mais comme François hollande a promis de dompter les marchés financiers, elle les trouvera sans aucun problème et à un taux d’intérêt très avantageux. Si elle ne les trouve pas ou si les taux d’intérêts montent, François Hollande dira que le monde des riches se ligue contre la France et les Français accepteront avec joie les restrictions qui leur seront demandées.

    Ce sera la pénurie exacerbée dans la joie, car, grâce au socialisme, la pénurie est joyeuse par définition. François Hollande a dit qu’il voulait la croissance et pas la rigueur et donc il y aura la croissance et s’il n’y a pas la « croissance », ce sera la faute des odieux capitalistes.

    Car les socialistes ne sont jamais responsables de rien, par définition. François Hollande est certain que les autres dirigeants européens voudront, comme lui, pouvoir dépenser plus et il ne doute pas qu’Angela Merkel va financer les dépenses de la France. Et si Angela Merkel refuse, François Hollande dira qu’elle est odieuse et mérite de perdre les élections en Allemagne.

    Un récent rapport de la Cour des Comptes annonçait que la France devait procéder à des coupes drastiques dans son budget, ce qui coïncide parfaitement avec les projets dispendieux de François Hollande. Mais François Hollande dira qu’il n’a pas besoin de faire des coupes drastiques et qu’il peut financier ses projets en augmentant les impôts des particuliers et des entreprises. Et si particuliers et entreprises ne sont pas au rendez-vous, il dira que c’est parce que les particuliers et les entreprises sont méchants, à moins qu’il ne dise que c’est la faute de Nicolas Sarkozy. De toute façon, tout ce qui ira bien s’accomplira grâce à François Hollande, et tout ce qui ira mal sera la faute de Nicolas Sarkozy. Comme assez rapidement rien n’ira bien et que tout ira mal, ce sera, beaucoup, la faute de Nicolas Sarkozy.

    Voici trente et un an, les partisans de François Mitterrand s’étaient rassemblés place de la Bastille. La France était censé passer de « la nuit à la lumière ». Deux années plus tard, un slogan servait à définir les socialistes : « la faillite nous voilà », avait titré ironiquement, pour définir le gouvernement Mauroy finissant, un quotidien de droite. Trente et un an plus tard, les enfants de ceux qui ont acclamé François Mitterrand étaient rassemblés à la Bastille pour acclamer François Hollande. Ils ont dans la tête les imbécillités qui étaient déjà dans la tête de leurs parents et montrent que les imbécillités peuvent se transmettre de génération en génération. Les imbéciles, dit un vieux dicton, ne changent pas d’avis. On peut ajouter au dicton : leurs enfants non plus. La différence avec 1981, c’est que la faillite arrivera beaucoup plus vite. La faillite est quasiment déjà là. Elle n’attendait plus que celui qui viendrait la déclarer. La différence est aussi que ce sera cette fois une faillite aux dimensions de l’Europe.

    Elle n’est pas belle, la vie ? Et si vous boudez votre plaisir, je vous parlerai des drapeaux sur la place de la Bastille : en cherchant bien, il devait rester quelques drapeaux français. Un drapeau américain aurait été très malvenu. Les drapeaux de quelques régimes islamiques, par contre, étaient à leur place. Les drapeaux de la gay pride étaient tout à fait à leur place eux aussi. C’est superbe, un peuple rassemblé dans l’harmonie et la lucidité…. »

    Ce texte que j’ai trouvé sur internet, exprime bien ce que je pense et ce que beaucoup prédisent. Voilà Laurent contre quoi tu as fait campagne avec une énergie et une humanité exceptionnelle. Voilà aussi en contrepoint ce pourquoi tu as exposé tes idées. Nous te remercions de ton engagement et de celui de tout tes supporters. Avoir eu raison trop tôt n’est pas un défaut, c’est une grande qualité. Se tromper dans la gouvernance d’un pays, c’est une catastrophe. Souhaitons nous que tout ceci ne soit qu’une observation passagère et une prédiction erronée. Rendez vous dans quelques semaines ou dans quelques mois … Laurent, nous avons besoin d’hommes comme toi, de ta trempe, attentionnés et courageux, innovants et pragmatiques. Merci. Portes toi bien. A très bientôt.

  6. Madame Lebranchu au perchoir: une jolie parodie du Corbeau et du Renard, avec un nom prédestiné!
    C’est en toute sympathie pour cette dame que je ne connais pas et juste pour détendre un peu l’atmosphère,Yv. C’est un peu facile, je vous l’accorde, mais, sans cela, mon espièglerie en aurait souffert.

    Dites-moi, cher Yv, en quoi pourrais-je être inélégante lorsque je me contente de citer les oiseaux que je contemplais avec délice sur la jolie soupière de porcelaine de la table familiale des dîners de mon enfance -même s’il n’y avait pas de faucon-? Il vous manquait ce petit élément pour comprendre: vous voilà donc rassuré.
    Je reste et demeure une femme élégante.

  7. Madame Lebranchu au perchoir: « Le Corbeau et le Renard » revisité, avec un nom prédestiné. C’est pour rire, Yv.
    Mais en quoi suis-je inélégante lorsque je cite ces oiseaux que je contemplais avec délice sur la soupière de porcelaine de la table familiale des dîners de mon enfance – même s’il n’y avait pas de faucon-?
    Un élément qui vous rassurera, je l’espère.

  8. Pardon pour ce double envoi. Je n’avais pas rempli tous les champs du premier( qui, sans doute de ce fait, apparait sous Anonyme) et je pensais qu’il avait disparu.
    C’est ainsi que j’ai reformulé et réexpédié mon message: voilà ce qui explique cette redite!

  9. Je vois dans votre allusion sur la « sape » une remarque sans doute désagréable par rapport à certaines tenues vestimentaires. Mais surtout, vous n’êtes pas sans savoir, eu égard à votre finesse d’esprit, que comparer les prétendant(e)s au perchoir à des bécasses ou des perruches n’est pas particulièrement flatteur. Vous-même sans doute n’aimeriez pas que l’on accolât à votre nom ces deux noms d’oiseaux. Je goûte beaucoup plus l’humour avec Mme Lebranchu et le perchoir, qui est plutôt bien vu ! C’est pour cette raisons que je raillais un peu votre manque d’élégance. Élégance dont ne manque pas par ailleurs M. Dejoie, ce qui est tout à son honneur.

  10. @Yv
    Ce n’est pas la remarque qui est désagréable, c’est la tenue. Il va falloir se cotiser pour habiller nos ministres qui n’ont rien à se mettre sur le séant.
    Quant aux bécasses et autres oiseaux, aucun recours près les tribunaux n’est possible pour faire procès à l’auteur de cet objet magnifique que ma regrettée Maman a su me faire apprécier en même temps que l’onctueux potage tenu au chaud dans si gracieux réceptacle.
    L’image inscrite dans votre mémoire s’impose d’elle-même le moment venu: la preuve…..!

  11. Absent pendant quelques jours ( je n’avais cependant pas omis de donner procuration), et à mon retour privé de téléphone et donc d’internet, ce n’est que cet après-midi que j’ai récupéré  » mes moyens ».
    Je voudrais faire part à Laurent Dejoie de toute ma sympathie et mon amitié dans « l’épreuve » qu’il traverse, même s’il s’agit d’une « affaire publique » qui nous concerne tous.
    Qu’il sache que, comme beaucoup, je lui garde toute ma confiance et si je suis déçu, je le suis d’abord pour lui. Il a tout fait et peut-être encore plus que nous l’imaginons, qu’il ne cherche pas où est l’erreur, il n’en n’a pas commis, lui et son équipe de campagne.
    L’erreur c’est de ne pas savoir faire le distingo entre la compétence et l’appartenance à une mode somme toute passagère, et peut-être plus éphémère qu’on ne le pense. tout du moins je l’espère..
    Ce n’est pas une défaite, mais une incompréhension entre ceux qui pensent que tout va aller mieux dans le meilleur des mondes , avec des nouvelles têtes, et ceux qui évoluent dans le concret et le rationnel. Plus dure va être la chute, car on va se « casser la gueule », c’est écrit et évident!!!
    Je ne m’autoriserais pas ce jeu de mots facile qui consiste à dire que sous sonmmes dans « l’errance » la plus complète, je ne pouvais pas m’en empêcher!
    En attendant merci Laurent pour le combat politique que tu mènes, car contrairement aux résultats électoraux, tu es dans le vrai.Nous continuerons à te soutenir.

  12. BONJOUR; UNE FOIS LA PARTIE PERDUE, MEME SI ON A BIEN JOUE,IL FAUT SAVOIR REMETTRE LES PIECES EN PLACE ET EN RECOMMENCER UNE AUTRE.VOICI LESPRIT DU JEU .LE JOUEUR

  13. « L’autorité ne va pas sans prestige, ni le prestige sans l’éloignement.» disait Charles de Gaulle.
    Alors, comme il doit sourire, le Général, en entendant parler de Président normal, lui pour qui la France ne peut s’accompagner que de grandeur, cette grandeur qui permet de prendre la distance fondatrice: la clairvoyance, pour anticiper, prendre de l’avance, projeter et protéger surtout.
    N’est-ce pas cela, tout simplement, que nous attendons d’un Chef d’Etat: qu’il nous protège?

    D’ailleurs, normal ou ordinaire? Je n’avais pas remarqué que Nicolas Sarkozy fût anormal; en revanche, il était peut-être bien extraordinaire…..

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