L’USSA VERTOU en CFA 2

Malgré une défaite à CHOLET, l’Union Sportive de la Sainte Anne de VERTOU accède à la division supérieure, le CFA 2 où elle va retrouver ….le FC NANTES du moins son équipe B qui descend, et une équipe devenue célèbre celle de CARQUEFOU.

Cette montée est une récompense pour le club et est emblématique d’une saison remarquable puisque toutes les équipes montent en Division Supérieure et les jeunes vont accéder aux championnats nationaux.

Le Parc des Echalonnières dont les travaux sont en cours de finition avec un stade en synthétique va tomber à point nommé.

Pour en savoir plus sur l’USSA VERTOU, découvrez son site.

(Cliquez ici)

Malgré une défaite à CHOLET, l’Union Sportive de la Sainte Anne de VERTOU accède à la division supérieure, le CFA 2 où elle va retrouver ….le FC NANTES du moins son équipe B qui descend, et une équipe devenue célèbre celle de CARQUEFOU.

Cette montée est une récompense pour le club et est emblématique d’une saison remarquable puisque toutes les équipes montent en Division Supérieure et les jeunes vont accéder aux championnats nationaux.

Le Parc des Echalonnières dont les travaux sont en cours de finition avec un stade en synthétique va tomber à point nommé.

Pour en savoir plus sur l’USSA VERTOU, découvrez son site.

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Auteur/autrice : Laurent DEJOIE

Laurent DEJOIE Notaire Président de l'Association du Notariat Francophone Vice-président du Conseil Régional des Pays de la Loire

13 réflexions sur « L’USSA VERTOU en CFA 2 »

  1. Dans le pays Nantais le marché de VERTOU est bien réputé. Sa réputation est notament due à sa célèbre buvette. Un lieu de convivialité unique où le dimanche matin on refait le monde autour d’un verre de Muscadet.
    Et bien ce fameux verre parlons en. Depuis la semaine dernière le verre se paie 1 euro. Oui vous avez bien lu 1 euro. Je trouve cela personnellement scandaleux.
    Nous consommateurs ne devrions nous pas faire front pour montrer à ces chers viticulteurs notre mécontentement. A ce rytme là, il est clair que la buvette du marché va être désertée à court terme.
    Comment ces viticulteurs peuvent ils justifier un prix aussi onéreux pour un simple verre de muscadet? J’avoue que je m’interroge.
    Je serai curieux de connaitre votre avis à tous chers blogueurs.

  2. Si le verre de muscadet est au prix ,que vous indiquez ( 1euro)

    c’est vraiment trop cher…..
    un pain "banette" est à 1 euro 17 ….

    La célébre buvette du marché de Vertou risque de ne pas survivre.

  3. "de boisson" bien entendu!
    Ardent défenseur du Muscadet, je regrette bien évidemment cette augmentation du prix du verre au marché de Vertou.
    En effet, une bouteille contient au minimum 8 verres, ce qui met la bouteille à 8 euros.
    Quand comme moi, on achète chez le viticulteur, on paye la bouteille moins de 4 euros et ce dans une qualité supérieure , même si celle des vins servis au marché s’est améliorée. Alors nous faut-il comprendre que ce prix est trop bas et que les viticulteurs tentent de se rattraper sur les consommateurs du marché.
    N’avons nous pas à nous inquiéter de l’évolution à venir en raison de la raréfaction qui se fait jour du fait des gelées de printemps?
    Notre Muscadet rejoindra-t-il les sommets atteints par le pétrole dont nous ne savons pas nous passer?
    Espérons que non!
    Santé quand même!

  4. Ce qui m’étonne , c’est qu’une information de cet intérêt pour l’ensemble du mouvement sportif de notre commune se traduise par trois commentaires sur le "muscadet". Les sportifs apprécieront.
    Bravo au football vertavien et tout particulièrement à l’USSA, tant pour son succès avec son équipe première que pour le travail réalisé en matière de formation de jeunes.
    Mais attention , d’autres disciplines sont en difficulté et chacun doit pouvoir pratiquer son sport préféré au niveau qui lui convient.

  5. Etant l’instigateur de cette discution sur le muscadet, je me permets de répondre à Claude. J’ai posté mon billet sur le premier sujet que j’ai trové sur ce blog. Je ne voulais bien entendu par faire affront aux sportifs ; loin de là ma pensée. Je respecte trop le monde sportif.
    Une idée peut être à suggérer à Mr le Maire : pourquoi ne pas créer une section où l’on pourrait lancer des sujets de conversation tout azimut?
    Je pense que LAREDO serait ravi lui qui lance à la volée certains sujets forts interssants quand l’activité du blog diminue.

  6. c’est au possesseur du blog de décider et ce n’est pas si facile de modérer.

    Au sujet du marché, j’avais suggéré un marché avec une zone couverte, une zone de déchets et des toilettes un peu plus soignées…..

    pour les intéressés, ils peuvent toujours se promener à Talensac, Carquefou, La Baule,…… et les marchés du sud ouest de la France.

  7. à propos de blog en voici un petit nouveau qui s’intéresse à Vertou et à l’écologie, je ne doute pas de l’intérêt que vous lui porterez.
    ecologie-solidarite.over-blog.com/categorie-10392620.html

  8. Gagné Jocelyn ! Mais si écologie et solidarité sont des valeurs aussi marquées à gauche pour vous, est-ce à dire qu’égoïsme et pollution sont des valeurs de droite ?
    Je plaisante moi aussi naturellement ! Il faut toujours faire attention au sens des mots

  9. Cher Jean-Philippe, je pense que d’aucun de nous ne doit avoir le monopole de l’écologie et de la solidarité. Les enjeux climatiques et écologiques qui nous attendent doivent dépasser tous les clivages. J’aimerais que l’association qui vient de se créer et auquel le blog que vous citez se rapporte soit plus dans une démarche constructive avec la municipalité qu’un groupe d’opposition. Vous seriez d’ailleurs étonné de voir les projets à venir en matière de logement social et d’environnement à Vertou. Bien à vous.

  10. Pour répondre au dernier commentaire.
    Il n’y a pas de monopole de l’écologie et de la solidarité, de même qu’il n’y a pas de monopole des questions sociales économiques ou autres, c’est certain !
    mais dans les actes et les choix que nous faisons et non dans les discours on peu reconnaître les vrais priorités de chacun.
    Il est vrai que pour l’essentiel, l’écologie politique se situe à gauche et au centre gauche, on peu le regretter et se demander pourquoi. La réponse est multiple et complexe, elle est liée à l’histoire du mouvement écologiste né dans les années 60 et 70 et issu du mouvement tiers-mondiste, d’associations environnementales et d’ancien militants du PSU …. Une autre raison serait liée à la culture politique des partis et des valeurs qu’ils véhiculent. La droite apparaît comme plus lié (à tort ou à raison) aux milieux économiques, hors ceux-ci sont souvent en opposition avec les écologistes pour qui la rentabilité à court terme est moins importante que la préservation de l’environnement. Les écologistes veulent des règles afin que le développement économique prennent en compte l’environnement. Ce qu’on appelle aujourd’hui le développement durable.
    Il est vrai que les mentalités évoluent. Mais les freins liés aux intérêts particuliers sont encore puissants, et il ya urgence à changer nos comportements.
    Cette association sera à la fois dans une démarche constructive avec la municipalité et aussi une opposition. Cela dépendra. Aucune allégeance ni opposition systématique, elle se situera en fonction des projets dans une totale liberté.

  11. Réponse à Denis : Le mouvement écologique est né et a été relayé en plein mouvement hippie né lui-même du mouvement "beat" (les beatniks). Si c’est culturellement intéressant -nous n’aurions pas connu jimi hendrix et Janis Joplin-, on a vu les limites de cette vision utopique de la société. Depuis, les post-soixante-huitards se sont rangés dans le schéma classique dominant (les autres ayant sombré dans la drogue ou les sectes) regardant avec nostalgie les photos de leur jeunesse psychédélique. Je dis souvent que si les politiques ont leur part de responsabilités en matière d’environnement, nous avons nous, consommateurs le pouvoir d’influer sur le cours des choses avec notre carte bleue, et nous sommes en ce sens majoritaires. À nous, consommateur de décider ou non d’engraisser un peu plus davantage l’entrepreneur peu scrupuleux qui s’il le pouvait négligerait bien la conformité de ses produits pour faire un peu plus d’argent. Ça me ramène au problème du commerce de proximité à Vertou où beaucoup regrettent l’omniprésence de banques et d’assurances. Mais ceux-là, où vont-t »ils faire leurs courses ? Il faut arrêter de se plaindre. C’est notre comportement qui est la cause principale de tout nos maux. C’est le serpent qui se mort la queue. La déforestation, par exemple est un problème préoccupant. Vais-je opter pour le joli mobilier de jardin en teck moins cher ou plus cher mais issu de plantations destinées à la production ? Vais-je choisir le plat plus cher ou moins cher mais avec sa graisse et son huile de palme ? Chaque choix que nous faisons au quotidien a un impact sur nous-même et notre environnement. C’est avant tout un problème de conscience et d’éducation. Et celui qui me sort le prétexte du pouvoir d’achat en berne est de mauvaise foi. Si chacun de nous faisions ne serait-ce qu’un geste, les choses évolueraient plus rapidement. Mais on constate souvent que la priorité des ménages est de privilégier l’achat du dernier plasma au détriment de tout le reste. Il faut réconcilier écologie et économie car je pense que les deux ne sont pas antinomiques. Concernant votre tout dernier commentaire sur l’accessibilité des berges de la Sèvre, ne soyez pas étonné du peu d’intérêt manifesté par le conseil général à ce sujet. Celui-ci est malhonnête. On la vu pendant la campagne des municipales et on le verra encore.

  12. Réponse à Jocelyn : Vous avez raison de souligner l’importance de nos comportements individuels et nous sommes tous responsables à différents niveaux de l’impact sur l’environnement. Depuis 15 ans j’ai constaté une évolution de la conscience collective sur ces questions, mais le passage à l’acte sur notre façon de consommer se fait encore attendre. Pourquoi ? Conscience et éducation populaire, oui mais pas seulement.
    – L’humain en général est égoïste et vois avant tout son propre intérêt à court terme. Il ne changera de comportement que lorsqu’il verra un impact direct sur son environnement immédiat. Le problème, c’est qu’alors il sera trop tard pour réagir. Un rapport de scientifiques internationaux indique que nous sommes la dernière génération à pouvoir agir pour infléchir la dégradation de l’environnement avant qu’elle ne soit irréversible.
    – La société de consommation dans laquelle nous baignons à remplacer la religion traditionnelle, « nous n’allons plus à la messe le dimanche, mais au centre commercial le samedi». Ce n’est plus la morale religieuse qui nous influence, c’est la publicité. Or celle-ci va plus inciter à l’achat du «dernier plasma» (je vous cite) qu’à une consommation responsable. Pourquoi les appareils électroménagers de nos grands-mères fonctionnaient plus de 30 ans et les nôtres tombent en pannes après la fin de garantie de 5 ans ? Pourquoi nous dit-on qu’il est moins cher de racheter un nouveau matériel plutôt que de réparer l’ancien ? Conséquence : encore plus de déchets.
    – Le problème des transports : Les lieux de travail se sont éloignés des lieux de vie et on ne peut exiger de tous de faire 30km ou 40km à vélo tous les jours pour aller au travail, chercher les enfants à l’école et faire les courses. Les infrastructures de notre société nous ont éloignés et l’unité de mesure est celle de l’automobile. Conséquence : plus de pollution et de perturbations climatiques.
    Si nous attendons que les citoyens changent d’eux-mêmes leur comportement, alors que rien ou peu de choses dans notre société ne nous y incite, il sera trop tard.
    C’est pourquoi je pense que les élites politiques ont une responsabilité importante afin d’offrir des alternatives crédibles pour inciter à un changement massif des comportements individuels. L’écologie culpabilisatrice est insuffisante et limitée, car elle n’a d’influence que sur une minorité de personnes.
    Il faut donc agir sur 3 niveaux : 1 – La responsabilité des individus. 2 – La responsabilité des entreprises et des collectivités locales. 3 – La responsabilité des états.
    Enfin pour réconcilier écologie et économie, il faut que cette dernière s’affranchisse de l’ultra-libéralisme financier, et intègre le développement durable comme composante essentielle.
    Ce débat est intéressant mais nous nous sommes éloigné du sujet d’origine.

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