LECONS D’UNE CRISE ?

Je n’ai pas la prétention de tirer les leçons de la crise qui a secoué ( et ce n’est peut-être pas fini !) la planète financière mondiale.

C’est beaucoup trop tôt et je n’ai pas les compétences pour le faire.

Simplement quelques réflexions d’un citoyen engagé.

La première est l’importance du calme et du sang-froid qu’il faut aux dirigeants (que beaucoup devraient partager avec eux!) pendant la crise elle-même. Chacun doit parler à bon escient et c’est pour celà que je n’ai pas estimé utile d’aborder ce sujet avant aujourd’hui.

La deuxième est que l’Europe a – après quelques atermoiements – parlé d’une seule voix et agi de manière concertée. Nicolas SARKOZY n’y est pas pour rien.

La troisième est que l’exception française – souvent décriée – a de bons côtés. Notre état – quoiqu’on en dise est plus régulateur que dans beaucoup des pays comparables au nôtre. Notre système financier avec ses règles juridiques et comptables a mieux résisté que d’autres.

Je forme le voeu que la médiatisation effrénée, l’avancement de la construction européenne, et la promotion de notre système juridique soient au coeur des réflexions de nos responsables.

Alors peut-être cette crise sera un mal pour un bien!

Je n’ai pas la prétention de tirer les leçons de la crise qui a secoué ( et ce n’est peut-être pas fini !) la planète financière mondiale.

C’est beaucoup trop tôt et je n’ai pas les compétences pour le faire.

Simplement quelques réflexions d’un citoyen engagé.

La première est l’importance du calme et du sang-froid qu’il faut aux dirigeants (que beaucoup devraient partager avec eux!) pendant la crise elle-même. Chacun doit parler à bon escient et c’est pour celà que je n’ai pas estimé utile d’aborder ce sujet avant aujourd’hui.

La deuxième est que l’Europe a – après quelques atermoiements – parlé d’une seule voix et agi de manière concertée. Nicolas SARKOZY n’y est pas pour rien.

La troisième est que l’exception française – souvent décriée – a de bons côtés. Notre état – quoiqu’on en dise est plus régulateur que dans beaucoup des pays comparables au nôtre. Notre système financier avec ses règles juridiques et comptables a mieux résisté que d’autres.

Je forme le voeu que la médiatisation effrénée, l’avancement de la construction européenne, et la promotion de notre système juridique soient au coeur des réflexions de nos responsables.

Alors peut-être cette crise sera un mal pour un bien!


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Auteur/autrice : Laurent DEJOIE

Laurent DEJOIE Notaire Président de l'Association du Notariat Francophone Vice-président du Conseil Régional des Pays de la Loire

5 réflexions sur « LECONS D’UNE CRISE ? »

  1. Réponse à Rugby 13 – Je comprends qu’un rugbyman aimerait avoir un terrain de rugby à VERTOU. On comprendra tout de même que dans la gestion des équipements sportifs, priorité soit donnée à la satisfaction du plus grand nombre. Il existe sur l’agglomération des terrains de rugby, faut-il (et peut-on ?) en créer partout ? On pourrait d’ailleurs multiplier les exemples : patinoires, terrain de hocey ou de cricket, etc…. Peut-être y a t-il des opinions intéressantes à ce sujet?

  2. Après le RSA, voilà que le groupe PS de l’Assemblée continue à perdre la tête et à s’empêtrer dans la politique politicienne. A un moment où les dirigeants européens, toutes tendances confondues, prennent leurs responsabilités pour faire face à la crise financière et où les Français attendent que les affaires soient gérées avec discernement et pragmatisme, les députés socialistes s’abstiennent sur le plan Sarkozy…sous prétexte que ce soit justement le plan Sarkozy. Décidément, le PS s’embourbe. Le congrès de Reims s’annonce passionnant.

  3. Mais que la crise ne nous fasse pas oublier le 15 octobre, jour de votre anniversaire cher Laurent… HAPPY BIRTHDAY !

  4. Bon anniversaire, Monsieur le Maire,
    et plein succès dans l’exercice de votre mission.

  5. Vive la crise ! Après tout si les riches perdent un peu, les pauvres perdent tout. Après les files d’attente devant les restos du coeur, nous verront le nombre de SDF gonfler… Compte tenu du fait que l’espérance de vie des pauvres est beaucoup moins élevée que celles des riches, et qu’ils vont être bien plus nombreux, la question du versement des retraites, du trou de la sécu et du financement des hôpitaux se trouvera réglée comme par magie. A défaut d’une bonne guerre, rien ne vaut une bonne crise pour alléger le poids
    de l’Etat.

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