La France et ses équilibres territoriaux souffrent de ne pouvoir offrir aux investisseurs internationaux plusieurs pôles majeurs d’attractivité, à la différence de l’Allemagne (Düsseldorf, Munich, Stuttgart, Wiesbaden, Hanovre, etc.) ou de l’Italie (Milan, Turin, Rome, etc.). L’essentiel de l’attractivité française est en effet concentrée en région parisienne, alors que cette dernière n’accueille qu’un habitant sur 5 de la France métropolitaine.
L’Espagne, l’Allemagne ou l’Italie ont de leur côté créé des statuts spéciaux de collectivités territoriales pour les principales agglomérations. En France, ces dernières ne sont pas des collectivités locales mais des établissements publics (communauté urbaine ou d’agglomération).
Le comité BALLADUR étudie actuellement la possibilité de définition d’un «statut» d’agglomération, dont l’un des objectifs serait d’élever les plus grandes métropoles françaises au rang des plus puissantes «villes métropoles» européennes. Cette évolution pourrait alors concerner les 25 pôles urbains les plus importants (c’est-à-dire regroupant au moins 400000 habitants) et pas seulement les 14 communautés urbaines.
Plusieurs scénarios sont possibles. On peut notamment citer l’hypothèse de création d’une nouvelle collectivité locale, ou le renforcement des communautés urbaines. Dans tous les cas se pose la question de l’éventuelle absorption de compétences départementales par cette agglomération rénovée.
Qu’en pensez-vous ?
La France et ses équilibres territoriaux souffrent de ne pouvoir offrir aux investisseurs internationaux plusieurs pôles majeurs d’attractivité, à la différence de l’Allemagne (Düsseldorf, Munich, Stuttgart, Wiesbaden, Hanovre, etc.) ou de l’Italie (Milan, Turin, Rome, etc.). L’essentiel de l’attractivité française est en effet concentrée en région parisienne, alors que cette dernière n’accueille qu’un habitant sur 5 de la France métropolitaine.
L’Espagne, l’Allemagne ou l’Italie ont de leur côté créé des statuts spéciaux de collectivités territoriales pour les principales agglomérations. En France, ces dernières ne sont pas des collectivités locales mais des établissements publics (communauté urbaine ou d’agglomération).
Le comité BALLADUR étudie actuellement la possibilité de définition d’un «statut» d’agglomération, dont l’un des objectifs serait d’élever les plus grandes métropoles françaises au rang des plus puissantes «villes métropoles» européennes. Cette évolution pourrait alors concerner les 25 pôles urbains les plus importants (c’est-à-dire regroupant au moins 400000 habitants) et pas seulement les 14 communautés urbaines.
Plusieurs scénarios sont possibles. On peut notamment citer l’hypothèse de création d’une nouvelle collectivité locale, ou le renforcement des communautés urbaines. Dans tous les cas se pose la question de l’éventuelle absorption de compétences départementales par cette agglomération rénovée.
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