Blog de Laurent Dejoie
Aujourd’hui et demain à LISBONNE, le sommet des vingt sept pays de l’Union Européenne se réunit pour discuter du mini traité qui doit se substituer au projet de Constitution. A ce moment important, il n’est pas inutile de connaître ce qui peut être adopté.
Ce comparatif avec le projet de Constitution est intéressant à consulter.
Aujourd’hui et demain à LISBONNE, le sommet des vingt sept pays de l’Union Européenne se réunit pour discuter du mini traité qui doit se substituer au projet de Constitution. A ce moment important, il n’est pas inutile de connaître ce qui peut être adopté.
Ce comparatif avec le projet de Constitution est intéressant à consulter.
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Après le vote en décembre 2006 de crédits dédiés à financer une étude de définition et de faisabilité d’un nouvel équipement à vocation culturelle pour la Ville de VERTOU, j’ai souhaité la mise en place d’un groupe de travail composé de 10 élus municipaux (Majorité et Opposition(s) comprises), laquelle a été adoptée lors du conseil municipal du mois de juin. Ce groupe est chargé dans un premier temps d’engager un travail de réflexion sur le cahier des charges de ce nouvel espace culturel dont je souhaite qu’il mette l’accent sur les conditions de mise en oeuvre du spectacle vivant. Je souhaite aussi qu’il concentre sa réflexion sur l’offre de spectacles vivants au sein de l’agglomération nantaise, la qualification des publics vertaviens et leurs attentes ainsi que sur l’accompagnement des pratiques artistiques amateurs. La première réunion du groupe de travail s’est tenue il y a quelques semaines. Même si la réflexion autour d’un tel projet d’équipement mérite de prendre le temps nécessaire et d’organiser la concertation, n’hésitez pas à me donner d’ores et déjà votre avis sur ce que pourraient être les contours de ce futur lieu de pratique et de diffusion culturelle.
Après le vote en décembre 2006 de crédits dédiés à financer une étude de définition et de faisabilité d’un nouvel équipement à vocation culturelle pour la Ville de VERTOU, j’ai souhaité la mise en place d’un groupe de travail composé de 10 élus municipaux (Majorité et Opposition(s) comprises), laquelle a été adoptée lors du conseil municipal du mois de juin. Ce groupe est chargé dans un premier temps d’engager un travail de réflexion sur le cahier des charges de ce nouvel espace culturel dont je souhaite qu’il mette l’accent sur les conditions de mise en oeuvre du spectacle vivant. Je souhaite aussi qu’il concentre sa réflexion sur l’offre de spectacles vivants au sein de l’agglomération nantaise, la qualification des publics vertaviens et leurs attentes ainsi que sur l’accompagnement des pratiques artistiques amateurs. La première réunion du groupe de travail s’est tenue il y a quelques semaines. Même si la réflexion autour d’un tel projet d’équipement mérite de prendre le temps nécessaire et d’organiser la concertation, n’hésitez pas à me donner d’ores et déjà votre avis sur ce que pourraient être les contours de ce futur lieu de pratique et de diffusion culturelle.
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Le journal LIBERATION inaugure ce matin une nouvelle formule. Je suis loin d’être toujours d’accord avec les opinions de ce journal mais j’ai une passion pour la presse écrite. On a beau être un fan d’INTERNET et aimer en même temps le journal avec l’encre qui noircit les mains et la texture particulière du papier. Un journal qui se rénove est toujours pour moi un évènement.
Le journal LIBERATION inaugure ce matin une nouvelle formule. Je suis loin d’être toujours d’accord avec les opinions de ce journal mais j’ai une passion pour la presse écrite. On a beau être un fan d’INTERNET et aimer en même temps le journal avec l’encre qui noircit les mains et la texture particulière du papier. Un journal qui se rénove est toujours pour moi un évènement.
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La consultation publique pour le Grenelle de l’environnement est en cours. En cliquant sur « Lire la suite », vous trouverez un résumé des principales propositions.
Vous pouvez aussi accéder au site du Grenelle de l’Environnement. (Cliquez ici)
La consultation publique pour le Grenelle de l’environnement est en cours. En cliquant sur « Lire la suite », vous trouverez un résumé des principales propositions.
Vous pouvez aussi accéder au site du Grenelle de l’Environnement. (Cliquez ici)
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C’est bien connu, en France les médecins libéraux se concentrent au sud et dans les villes, et sont moins nombreux dans le nord et les campagnes. Cette réalité pose de graves distorsions en terme d’accès aux soins et ne peut plus rester sans réponses. Pour régler le dilemme, la Cour des Comptes propose purement et simplement de pénaliser financièrement les médecins qui feront le choix de s’installer dans des zones géographiques déjà fortement pourvus.
Ici ou là, on entend même parler d’un contrôle de l’implantation médicale.
C’est la démonstration qu’un certain nombre de services et donc de professions doivent faite l’objet d’un minimum de réglementations. Chaque fois qu’il s’agit de missions de service public, l’état peut légitimement imposer des conditions à l’exercice de ces missions. C’est le cas des médecins. C’est aussi le cas des notaires.
Ceux-ci voient leur implantation géographique contrôlée. Faute de quoi, il n’y aurait pas – comme c’est le cas aujourd’hui – le maintien d’un service jurique sur la totalité du territoire.
De quoi faire réfléchir les partisans de la déréglementation à tous crins!
C’est bien connu, en France les médecins libéraux se concentrent au sud et dans les villes, et sont moins nombreux dans le nord et les campagnes. Cette réalité pose de graves distorsions en terme d’accès aux soins et ne peut plus rester sans réponses. Pour régler le dilemme, la Cour des Comptes propose purement et simplement de pénaliser financièrement les médecins qui feront le choix de s’installer dans des zones géographiques déjà fortement pourvus.
Ici ou là, on entend même parler d’un contrôle de l’implantation médicale.
C’est la démonstration qu’un certain nombre de services et donc de professions doivent faite l’objet d’un minimum de réglementations. Chaque fois qu’il s’agit de missions de service public, l’état peut légitimement imposer des conditions à l’exercice de ces missions. C’est le cas des médecins. C’est aussi le cas des notaires.
Ceux-ci voient leur implantation géographique contrôlée. Faute de quoi, il n’y aurait pas – comme c’est le cas aujourd’hui – le maintien d’un service jurique sur la totalité du territoire.
De quoi faire réfléchir les partisans de la déréglementation à tous crins!
Un sondage paru hier matin dans le FIGARO (pour le consulter : Cliquez ici) montre une demande de plus de discipline dans les établissements scolaires.
79% des sondés sont pour l’obligation de se lever quand le professeur entre dans la classe. Quasiment autant pour interdire les téléphones portables dans l’enceinte de l’école. Mais, il n’y en a que 31% favorables au port de l’uniforme.
56% des français trouvent la qualité de l’école satisfaisante et 65% apprécient la qualité de l’enseignement.
Bien évidemment, tout n’est pas parfait. Mais, j’ai un peu l’impression que ce sondage révèle une certaine nostalgie d’une époque passée où tout n’était pas rose dans les cours d’école.
Si je partage l’idée d’un retour à plus de discipline et de respect, je ne peux que constater que souvent lorsqu’elle s’exerce, bien des parents exigent explications et justifications, et en viennent même à contester certaines décisions.
Je me demande si le problème n’est pas celui de la reconnaissance de l’école et des enseignants par la société. Ceux-ci ne sont plus (mais le veulent-ils?) les autorités morales qu’ils ont été. Le monde de l’école est-il assez ouvert vers l’extérieur? Les directeurs d’école n’ont-ils pas besoin d’un véritable statut? Mais là aussi le veulent-ils?
Au fond, l’école subit les mêmes évolutions, voire perturbations que l’ensemble de la société. Après tout, on a l’école que l’on mérite. Chacun à sa place doit travailler pour la remettre à sa place : la première car l’éducation conditionne la réussite d’une nation.
Pour moi qui sais ce que je dois à mes enseignants, du primaire, du secondaire et de l’université, la question est essentielle.
Et pour vous?
Un sondage paru hier matin dans le FIGARO (pour le consulter : Cliquez ici) montre une demande de plus de discipline dans les établissements scolaires.
79% des sondés sont pour l’obligation de se lever quand le professeur entre dans la classe. Quasiment autant pour interdire les téléphones portables dans l’enceinte de l’école. Mais, il n’y en a que 31% favorables au port de l’uniforme.
56% des français trouvent la qualité de l’école satisfaisante et 65% apprécient la qualité de l’enseignement.
Bien évidemment, tout n’est pas parfait. Mais, j’ai un peu l’impression que ce sondage révèle une certaine nostalgie d’une époque passée où tout n’était pas rose dans les cours d’école.
Si je partage l’idée d’un retour à plus de discipline et de respect, je ne peux que constater que souvent lorsqu’elle s’exerce, bien des parents exigent explications et justifications, et en viennent même à contester certaines décisions.
Je me demande si le problème n’est pas celui de la reconnaissance de l’école et des enseignants par la société. Ceux-ci ne sont plus (mais le veulent-ils?) les autorités morales qu’ils ont été. Le monde de l’école est-il assez ouvert vers l’extérieur? Les directeurs d’école n’ont-ils pas besoin d’un véritable statut? Mais là aussi le veulent-ils?
Au fond, l’école subit les mêmes évolutions, voire perturbations que l’ensemble de la société. Après tout, on a l’école que l’on mérite. Chacun à sa place doit travailler pour la remettre à sa place : la première car l’éducation conditionne la réussite d’une nation.
Pour moi qui sais ce que je dois à mes enseignants, du primaire, du secondaire et de l’université, la question est essentielle.
Et pour vous?
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Le Premier Ministre a confirmé il y a quelques jours son intention d’engager la France dans un élan de réformes jugé indispensable pour assainir la situation du pays. Face à cette urgence, les Français ont choisi il y a tout juste cinq mois de faire confiance à Nicolas Sarkozy pour engager la rupture qu’il avait annoncée. Il est intéressant d’observer la perception actuelle de ces réformes. N’hésitez pas à réagir . (Cliquez ici)
Le Premier Ministre a confirmé il y a quelques jours son intention d’engager la France dans un élan de réformes jugé indispensable pour assainir la situation du pays. Face à cette urgence, les Français ont choisi il y a tout juste cinq mois de faire confiance à Nicolas Sarkozy pour engager la rupture qu’il avait annoncée. Il est intéressant d’observer la perception actuelle de ces réformes. N’hésitez pas à réagir . (Cliquez ici)
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Evidemment, comme tout le monde, je suis heureux, fier et impressionné par la magnifique victoire des bleus à CARDIFF.
Evidemment, cette victoire vient rappeler qu’un combat n’est jamais perdu d’avance et que les valeurs morales d’une équipe : le courage, la volonté, sont indispensables.
Mais deux choses m’ont marquées.
La première, pour moi qui suis plus foot que rugby, c’est l’extrême fair-play des joueurs, des dirigeants et du public. L’arbitrage n’est jamais contesté. On aimerait que les matchs de football se déroulent dans cette ambiance.
La seconde est que le match d’hier soir fait partie des événements fédérateurs comme il y en a peu. Ce dimanche, toutes les conversations, à vélo, au marché, dans les diverses manifestations ou je suis allé parlaient du match. Les journaux, les radios et les télés consacrent leur une à la victoire des bleus.
Je trouve cela aussi impressionnant que l’exploit lui-même.
Je me demande si il y a aujourd’hui quelqu’un que cela n’intéresse pas!
Enfin, l’essentiel est qu’on ait gagné…et qu’on batte les anglais samedi prochain. Allez les bleus!!!!!!
Evidemment, comme tout le monde, je suis heureux, fier et impressionné par la magnifique victoire des bleus à CARDIFF.
Evidemment, cette victoire vient rappeler qu’un combat n’est jamais perdu d’avance et que les valeurs morales d’une équipe : le courage, la volonté, sont indispensables.
Mais deux choses m’ont marquées.
La première, pour moi qui suis plus foot que rugby, c’est l’extrême fair-play des joueurs, des dirigeants et du public. L’arbitrage n’est jamais contesté. On aimerait que les matchs de football se déroulent dans cette ambiance.
La seconde est que le match d’hier soir fait partie des événements fédérateurs comme il y en a peu. Ce dimanche, toutes les conversations, à vélo, au marché, dans les diverses manifestations ou je suis allé parlaient du match. Les journaux, les radios et les télés consacrent leur une à la victoire des bleus.
Je trouve cela aussi impressionnant que l’exploit lui-même.
Je me demande si il y a aujourd’hui quelqu’un que cela n’intéresse pas!
Enfin, l’essentiel est qu’on ait gagné…et qu’on batte les anglais samedi prochain. Allez les bleus!!!!!!
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En ce moment à LIBRE COUR, la Bibliothèque de VERTOU, se déroulent les sixièmes RENCONTRES D’ILLUSTRATEURS.
Expos, ateliers, animations (pour adultes et pour enfants), ventes de livres, histoires et conférences. Il y a de quoi faire.
Tout naturellement, ces sixièmes rencontres ont rejoint LIBRE COUR. En parcourant l’exposition, vous pourrez si ce n’est déjà fait découvrir la bibliothèque.
Comme les années précédentes, des illustrateurs francophones, notamment du Québec, sont présents.
Cela nous rappelle que la francophonie n’est pas seulement une affaire de langue mais aussi de culture et, en particulier de diversité culturelle.
Il y a également un travail passionnant fait par le Lycée Léonard de Vinci de MONTAIGU(Cliquez ici), qui démontre que l’écrit se décline sur tous les supports, papiers mais aussi informatiques.
C’est une idée qui m’est chère que les technologies n’ont pas sonné la fin de l’écrit mais qu’au contraire, elles lui donnent un nouvel attrait.
Pour voir le programme complet.
En ce moment à LIBRE COUR, la Bibliothèque de VERTOU, se déroulent les sixièmes RENCONTRES D’ILLUSTRATEURS.
Expos, ateliers, animations (pour adultes et pour enfants), ventes de livres, histoires et conférences. Il y a de quoi faire.
Tout naturellement, ces sixièmes rencontres ont rejoint LIBRE COUR. En parcourant l’exposition, vous pourrez si ce n’est déjà fait découvrir la bibliothèque.
Comme les années précédentes, des illustrateurs francophones, notamment du Québec, sont présents.
Cela nous rappelle que la francophonie n’est pas seulement une affaire de langue mais aussi de culture et, en particulier de diversité culturelle.
Il y a également un travail passionnant fait par le Lycée Léonard de Vinci de MONTAIGU(Cliquez ici), qui démontre que l’écrit se décline sur tous les supports, papiers mais aussi informatiques.
C’est une idée qui m’est chère que les technologies n’ont pas sonné la fin de l’écrit mais qu’au contraire, elles lui donnent un nouvel attrait.
Pour voir le programme complet.
(Cliquez ici)
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Deux soirées de suite sans réunion m’ont permis de regarder ce téléfilm sur FRANCE 2 qui relate l’affaire dont a été victime Dominique BAUDIS, ancien Maire de Toulouse. La description de l’emballement médiatique, le fonctionnement des rumeurs, la détresse de ceux qui doivent prouver leur innocence alors que personne ne prouve leur cupabilité : tout cela est très impressionnant. Le débat qui a suivi regroupait plusieurs journalistes et un sociologue. Beaucoup avaient suivi cette affaire ou d’autres un peu similaires comme l’affaire d’Outreau. Dans tous les cas, on voit que la responsabilité est collective car tous les verrous sautent : les enquêteurs, les magistrats, puis les journalistes se laissent entraîner. Il est difficille alors à la responsabilité individuelle de réagir. Pourtant cela arrive et on a vu que certains journalistes se sont posés à un moment donné des questions. Dans ces deux dossiers, les victimes ont fini par être innocentées. On frémit en pensant que parfois ce n’est pas le cas. Dans ces affaires, ce n’est pas que le problème ou la faute des autres, chacun doit exercer aussi sa propre critique de ce qu’il voit ou entend. A méditer.
Deux soirées de suite sans réunion m’ont permis de regarder ce téléfilm sur FRANCE 2 qui relate l’affaire dont a été victime Dominique BAUDIS, ancien Maire de Toulouse. La description de l’emballement médiatique, le fonctionnement des rumeurs, la détresse de ceux qui doivent prouver leur innocence alors que personne ne prouve leur cupabilité : tout cela est très impressionnant. Le débat qui a suivi regroupait plusieurs journalistes et un sociologue. Beaucoup avaient suivi cette affaire ou d’autres un peu similaires comme l’affaire d’Outreau. Dans tous les cas, on voit que la responsabilité est collective car tous les verrous sautent : les enquêteurs, les magistrats, puis les journalistes se laissent entraîner. Il est difficille alors à la responsabilité individuelle de réagir. Pourtant cela arrive et on a vu que certains journalistes se sont posés à un moment donné des questions. Dans ces deux dossiers, les victimes ont fini par être innocentées. On frémit en pensant que parfois ce n’est pas le cas. Dans ces affaires, ce n’est pas que le problème ou la faute des autres, chacun doit exercer aussi sa propre critique de ce qu’il voit ou entend. A méditer.
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