Alerté par l’opposition socialiste de VERTOU (qui démontre une nouvelle fois sa capacité à appréhender les grands problèmes locaux !), OUEST-FRANCE de ce jour (voir ci-dessous) évoque le réglement de LIBRE COUR, la bibliothèque de VERTOU.
De quoi s’agit-il?
Ce réglement prévoit le cas des personnes indélicates qui ne rendent pas les ouvrages qu’ils ont empruntés.
Dans ce cas là , il est procédé après un délai de quinze jours à l’envoi d’un courrier de relance. Suivent ensuite trois autres courriers, un par semaine. Après il est passé un coup de téléphone ou des messages internet, le cas échéant. Enfin, en général six mois après la première lettre, la police municipale passe au domicile de l’emprunteur demander le ou les ouvrages. Aucune amende ou pénalité. Juste un peu de confusion chez l’emprunteur.
Voilà le fonctionnement ancestral dénoncé par les socialistes.
Ailleurs et notamment dans des villes gérées par la gauche, on envoie pas la police municipale mais on émet immédiatement après les relances un titre de paiement que le percepteur se charge de recouvrer. Ceci ne me choque pas encore que cela pénalise un peu plus les personnes à faibles revenus.
Ce qui me choque vraiment, c’est cette façon de penser qui conduit à nier le respect des autres, le respect des engagements. Ne pas rendre un livre de manière consciente ( après tant de relances, il ne peut en être autrement), c’est une véritable incivilité. Ne pas la relever, ne pas réagir, c’est la porte à tous les excès.
Si celui que cela choque de voir un policier municipal, respectable, poli, demander gentiment la restitution d’un livre qui aurait du être rendu il y a six mois, peut en tirer la leçon de ne pas recommencer cela sera tant mieux!
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Alerté par l’opposition socialiste de VERTOU (qui démontre une nouvelle fois sa capacité à appréhender les grands problèmes locaux !), OUEST-FRANCE de ce jour (voir ci-dessous) évoque le réglement de LIBRE COUR, la bibliothèque de VERTOU.
De quoi s’agit-il?
Ce réglement prévoit le cas des personnes indélicates qui ne rendent pas les ouvrages qu’ils ont empruntés.
Dans ce cas là , il est procédé après un délai de quinze jours à l’envoi d’un courrier de relance. Suivent ensuite trois autres courriers, un par semaine. Après il est passé un coup de téléphone ou des messages internet, le cas échéant. Enfin, en général six mois après la première lettre, la police municipale passe au domicile de l’emprunteur demander le ou les ouvrages. Aucune amende ou pénalité. Juste un peu de confusion chez l’emprunteur.
Voilà le fonctionnement ancestral dénoncé par les socialistes.
Ailleurs et notamment dans des villes gérées par la gauche, on envoie pas la police municipale mais on émet immédiatement après les relances un titre de paiement que le percepteur se charge de recouvrer. Ceci ne me choque pas encore que cela pénalise un peu plus les personnes à faibles revenus.
Ce qui me choque vraiment, c’est cette façon de penser qui conduit à nier le respect des autres, le respect des engagements. Ne pas rendre un livre de manière consciente ( après tant de relances, il ne peut en être autrement), c’est une véritable incivilité. Ne pas la relever, ne pas réagir, c’est la porte à tous les excès.
Si celui que cela choque de voir un policier municipal, respectable, poli, demander gentiment la restitution d’un livre qui aurait du être rendu il y a six mois, peut en tirer la leçon de ne pas recommencer cela sera tant mieux!
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